Le marché agricole camerounais est segmenté par céréales et grains, cultures de rente, fruits et légumes. Le rapport analyse également la production et la consommation des principales cultures, en plus des tendances de croissance du marché agricole dans le pays. Le rapport présente la taille du marché et les prévisions en termes de volume en tonnes métriques et de valeur en milliers de dollars pour tous les segments ci-dessus

Aperçu du marché

Le marché agricole camerounais devrait croître à un TCAC de 6,5 % sur la période de prévision (2022-2027). 

L’agriculture camerounaise a eu des effets néfastes tels que le retard des semis, le prix du riz dans les produits agricoles, en particulier le riz et le maïs importés, etc. en raison des diverses mesures restrictives impliquées par le gouvernement du Cameroun pour freiner la propagation du COVID-19 dans le pays. . 

L’agriculture au Cameroun représente plus de la moitié des revenus d’exportation non pétroliers du pays et emploie près de 60% de la population active. Environ 90% des ménages ruraux camerounais sont, d’une manière ou d’une autre, employés dans l’agriculture, et environ un tiers d’entre eux tirent leur subsistance de l’exportation des récoltes. Depuis des temps immémoriaux, l’agriculture fait partie intégrante du peuple camerounais. Les principales cultures vont des cultures vivrières traditionnelles (mil et maïs) aux cultures d’exportation (banane, cacao, café et coton) ainsi que des cultures moins traditionnelles (oignon, haricots verts, blé et riz) produites soit pour la consommation locale, soit pour l’export.

Portée du rapport

Le rapport définit les produits agricoles en termes d’utilisateurs finaux. Pour ce rapport, le périmètre du marché ne comprend que les produits agricoles frais. Le marché agricole camerounais est segmenté par céréales et grains, cultures de rente, fruits et légumes. Le rapport analyse également la production et la consommation des principales cultures, en plus des tendances de croissance du marché agricole dans le pays. Le rapport présente la taille du marché et les prévisions en termes de volume en tonnes métriques et de valeur en milliers de dollars pour tous les segments ci-dessus.

Principales tendances du marché

Préférence croissante des consommateurs pour les fruits et légumes produits localement

Une meilleure sensibilisation sur diverses plateformes de médias sociaux liées à la santé et au bien-être a stimulé la demande de divers produits alimentaires et de fruits et légumes frais. On estime que les Sud-Africains dépensent près de 16 % de leurs revenus en fruits et légumes. Les habitants du pays découvrent le lien entre alimentation saine, bien-être et remplacent leurs alternatives par les fruits et légumes. Avec la prise de conscience croissante de la santé, il y a aussi une tendance à la consommation croissante vers des variétés de fruits hors saison, qui sont généralement satisfaites par des importations croissantes. Pour les légumes, comme les haricots et le chou, il y a une tendance récente à la consommation croissante, en particulier parmi le groupe à revenu intermédiaire au Cameroun. Les cultures, telles que les pommes de terre, les tomates, les oignons, le gombo, les poivrons, les bananes, les ananas, les pastèques, les mangues, les avocats, les melons, et les pêches sont quelques-unes des cultures importantes de fruits et légumes identifiées avec un grand potentiel de croissance du marché au Cameroun au cours de la période de prévision. Une augmentation de la demande de fruits et légumes s’est ainsi traduite par la hausse de la production de fruits et légumes dans le pays.

Hausse des exportations de céréales

Les cultures vivrières camerounaises dominent le marché agricole de la région. Le maïs est la culture vivrière la plus importante, suivi du blé et de l’orge. L’Afrique du Sud a déclaré un total de 2344,6 milliers de tonnes métriques de production de maïs en 2018, avec une province d’État libre représentant 28,5% de la production totale de maïs au Cameroun. Les conditions climatiques, couplées à une méconnaissance des activités de transfert, constituent la principale limite du secteur agricole au Cameroun. Les initiatives gouvernementales, comme la création d’Agri-parcs, et l’introduction de projets, comme le projet FIDA, devraient promouvoir la culture de cultures vivrières dans le pays et améliorer le bien-être des ruraux pauvres. Des conditions climatiques favorables et des politiques gouvernementales favorables devraient stimuler le marché camerounais des cultures vivrières. Le maïs représente plus de 80% de la production vivrière locale au Cameroun. Le marché camerounais des produits vivriers a considérablement mûri depuis la déréglementation de la commercialisation. Les producteurs, commerçants et autres intermédiaires interagissent librement dans la commercialisation de leurs produits. Le gouvernement camerounais donne également la liberté aux agriculteurs de choisir le marché où ils souhaitent commercialiser leurs produits. Par conséquent, si les agriculteurs n’obtiennent pas des prix souhaitables pour leur production, ils peuvent vendre leurs produits sur le marché international. Le gouvernement camerounais donne également la liberté aux agriculteurs de choisir le marché où ils souhaitent commercialiser leurs produits. Par conséquent, si les agriculteurs n’obtiennent pas des prix souhaitables pour leur production, ils peuvent vendre leurs produits sur le marché international. Le gouvernement camerounais donne également la liberté aux agriculteurs de choisir le marché où ils souhaitent commercialiser leurs produits. Par conséquent, si les agriculteurs n’obtiennent pas des prix souhaitables pour leur production, ils peuvent vendre leurs produits sur le marché international.

Source: www.mordorintelligence.com